Bienvenue en Hadrianie !
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Place Podeba

Gouverneur de Bären :
Maire :
Population : 2 524 697
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Herri I
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Enregistré le : ven. 11 janv. 2019 16:35

mar. 2 juil. 2019 18:57

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Place Podeba devant l’Hôtel de Ville de Bärengrad

Jonas Bauer
Messages : 2
Enregistré le : mer. 29 mai 2019 16:20

mer. 3 juil. 2019 18:22

Mesdames, Messieurs!
Jonas pris un micro et des passants s'arrêtèrent
Bienvenue à toutes et à tous sur cette belle place Podeba, en ce dernier jour de campagne.
Je suis venu afin de vous donner 10 raisons pour lesquelles il faut voter pour le Parti Radical à cette élection:
- Pour assurer une éducation de qualité à toutes et à tous nos jeunes compatriotes
- Pour préserver l'environnement
- Pour élire des citoyennes et des citoyens; et non pas des personnes choisies par les lobbies
- Pour assurer la redistribution des revenus des plus aisés vers les plus modestes
- Pour un accès à la culture pour toutes et tous
- Pour développer nos relations internationales
- Pour que chacun et chacune d'entre nous puisse avoir accès aux soins, en allant vers la gratuité
- Pour que chacun puisse vivre dignement de son travail
- Pour une lutte sans relâche contre les discriminations
- Pour assurer une liberté sociétale à toutes et à tous
Merci!
Tonnerre d'applaudissements et sifflements d'approbation

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Albrecht Ackermann
Messages : 14
Enregistré le : ven. 26 avr. 2019 13:39

jeu. 26 mars 2020 20:01

Une estrade et un vieux micro suffirent à Albrecht pour tenir un discours sur la place Podeba, il fallait galvaniser les foules pour ne pas perdre l'explosion révolutionnaires comme tombe une mayonnaise ratée. Il fallait maintenir l'émulsion populaire pour avoir une chance de faire réussir cette révolution.

Camarades,

On ne doit pas lâcher notre effort maintenant ! Pas maintenant, pas après avoir soulevé des millions d'espoirs et fait éclore des millions d'idées, nous n'avons pas le droit d'abandonner l'avenir de notre pays et de nos enfants par un manque de volonté révolutionnaire. Nous avons le devoir de continuer à mener cette lutte positive et refuser de se résigner au pitoyable que nous proposent nos ennemis d'hier, soutenus dans leurs revendications réactionnaires par des ennemis nouveaux. La place et le rôle de l'État dans notre société doit être revu de fond en comble et nous ne pouvons plus supporter de vivre dans une monarchie ou une république dont les fondements et l'application sera semblable à celle d'une monarchie à l'exception près qu'on vous demandera votre avis de temps en temps pour approuver tel ou tel parti. Vous choisirez vos seigneurs à échéance régulière mais vous n'aurez rien à dire de plus sur la question politique, vous n'aurez aucune réflexion à mener car la seule question qu'on vous posera sera "qui voulez-vous comme maître ?" selon une liste prédéfinie de seigneurs-candidats. Il manquera à cette République des modérés et des traîtres, la révocabilité des décideurs centraux, l'éligibilité et la révocabilité des fonctionnaires locaux et l'émancipation des carcans sociétaux tels que nous les demandons. Que peut-on espérer d'une République aussi misogyne et réactionnaire que la Monarchie ? Que peut-on attendre d'un système dans lequel la propriété privée servirait toujours la grande bourgeoisie et réprimerait constamment le travailleur à qui on ne reléguerait comme on reléguait à l'esclave, que le minimum pour qu'il vive. On mettra un carcan aux ouvriers et aux paysans pour que leurs productions servent à leur seule survie et à la fortification du système industriel possédée par les rentiers et les vicelards qui possèdent aujourd'hui presque l'intégralité du capital de notre pays.

Par l'investissement et la finance, les grands seigneurs de notre temps et de notre pays vont se goinfrer et s'empuissancer pendant que nous autres, travailleurs seront obligés d'aller aux usines ou aux champs, en tant que salariés, car la supériorité de la machine qu'ils auront pu se payer, sans jamais savoir l'utiliser, leur permettra de nous rendre incapable de concurrencer efficacement leur production. Et la production des usines, des champs qui sera désormais collective car tous les prolétaires des champs et des usines travailleront main dans la main pour parvenir à une production plus efficace, plus rapide et plus solide, cette production collective sera la propriété privée de quelques uns qui n'ont jamais tâté de la faucille ou du marteau. Pourtant ce sera à eux qui ignorent jusqu'au fonctionnement des machines qu'ils possèdent, que vous travaillerez pour un salaire minable, si nous suivons le chemin que nous tracent les lâches et les traîtres du gouvernement provisoire alliés aux monarchistes que nous abhorrons, vous et moi, mes camarades de la grande fraternité socialiste qui mènera demain notre pays, pour peu que nous nous levions contre l'infamie et que nous mettions à genoux les ligues factieuses qui tentent de nous réduire en servage alors qu'elles ont levé pour des querelles, tant d'espoirs en nous par des mensonges révoltants. Il faut aujourd'hui se détourner des bonimenteurs, des traîtres et des opportunistes qui ont fait le choix de se livrer à la volonté monarchiste de rétablir la paix civile et l'oppression, il faut se détourner de leurs discours et ne plus les entendre car leurs langues de vipère tentera toujours, sous divers prétextes, de vous faire adhérer à un système d'exploitation et d'oppression qu'ont connu tous les pays de ce monde, après qu'une révolution bourgeoise s'y soit produite.

Au regard de ce que d'autres peuples et d'autres nations ont dû endurer sous les effets de leur bourgeoisie et de leur noblesse, tout citoyen sain de corps et d'esprit n'a pas trente-six solutions pour faire en sorte que ses fils et ses filles ne connaissent pas demain, l'horreur contre laquelle tout humain lutterait pour s'en préserver et sa progéniture. Aucun d'entre vous, sur cette place, ne souhaiterez vivre sous le régime convenu entre noblesse et bourgeoisie, un régime convenu par les classes dominantes pour conserver leur domination conjointe sur le reste de la population. Dans cette élaboration élitiste de l'État, nous autres, la masse populaire immense, sommes les grands oubliés et pourtant on nous promet qu'on en sera les protagonistes et que c'est pour nous et dans notre intérêt, qu'a été convenu cet accord entre les deux belligérants qui ont usé tant de notre sang dans des guerres qui seraient selon eux, vaines ! Mais si la guerre avait été si vaine, si la querelle de palais qui s'opère entre bourgeoisie et noblesse était si vaine et si l'importance de nos vies les touchait tant au coeur qu'ils tentent de nous le faire croire, pourquoi nous ont-ils poussé à nous battre comme des chiens ? Parce qu'il leur fallait leur petite mise en scène déplorable pour basculer d'un système défaillant et hors du temps, trop contestable, pour passer à un autre système de domination qui serait moins en proie aux aspirations et aux volontés révolutionnaires, car la monarchie de Herri Ier était en branle et qu'il fallait dans leur intérêt, conserver un État de domination, tout en se séparant de celui qui était trop désuet pour perpétuer sa survie et garantir aux classes dominantes que la soumission des classes populaires pourrait ainsi continuer.

On n'instrumentalise pas le peuple sans conséquence et c'est pourquoi, camarades, frères et soeurs, j'en appelle à votre courage et à votre intelligence, pour reprendre les armes si vous les avez lâchés en écoutant nos bonimenteurs nationaux et complices, à resserrer la main sur le canon du fusil, si vous n'en avez rien fait et à continuer l'effort de guerre contre la monarchie sous la supervision d'un nouveau gouvernement provisoire, pour l'instauration d'une république socialiste qui ne concède rien à la domination des uns sur les autres et dont le seul objectif sera l'émancipation du prolétariat par l'industrialisation rapide et collective du pays, et l'émancipation de la paysannerie par les mêmes méthodes. Comme Secrétaire du Gouvernement Provisoire, en lequel j'ai d'abord cru, vous aussi d'ailleurs, j'ai eu l'occasion de proposer et de parvenir à faire décréter des mesures dans le sens de la république socialiste mais la bourgeoisie et la noblesse voyant dans ces avancées de trop grands progrès qui pourraient trop inspirer les masses et empêcher qu'après la petite guerre, il y ait un refus de retourner à la suprématie de la possession privée et que les aspirations du peuple soient "l'égalité ou la mort", ceux-là se sont finalement trouvés plus d'amitiés entre eux qu'avec le peuple et ont donc convenu d'un cessez-le-feu afin de préparer leur petite tambouille référendaire qu'ils vous serviront dans la gamelle d'argent de la souveraineté citoyenne, pour vous faire avaler un nouveau régime de domination et d'exploitation des masses laborieuses et héréditaires par une minorité oisive et héréditaire. Celui qui croit que le nouveau régime qui se prépare entre les bourgeois du Gouvernement Provisoire et la noblesse du Royaume d'Hadrianie, va combattre l'hérédité et fonder sa société sur le mérite, se fourre le doigt dans l'oeil jusqu'au trognon. La méritocratie n'est que la saveur avec laquelle ils parfumeront le pâté d'oppression qu'ils vous mettront en gueule. Le déterminisme social n'est jamais aussi fort et observable que sous cette forme de gouvernance. Bien sûr, on ne le verra par les titres, ni forcément par les propriétés qui sont amenées à changer, mais par la richesse, la valeur de la possession et la fortune comptabilisée qui sera d'une hérédité impossible à combattre. L'héritage que vous laisserez à vos enfants, ne sera jamais que la dureté de votre travail et de votre condition, si vous acceptez de jouer le jeu de vos maîtres et que vous rendez les armes.

Alors, mes chers frères et soeurs, ne lâchons rien et pour rien au monde sinon la garantie d'un avenir meilleur ! Et celui-ci ne se négocie ni avec les traîtres, ni avec les maîtres. Vive la République Socialiste ! Vive l'Hadrianie !

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Augustin I
Roi d'Hadrianie
Roi d'Hadrianie
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Enregistré le : dim. 31 mars 2019 15:52

mar. 7 avr. 2020 19:35

Une heure plus tôt, la place était des plus calmes. Un silence pesant régnait alors que le vote du référendum allait bientôt prendre place. Mais à travers le silence cassant, des bruits succincts se firent entendre. Ce bruit était celui des hadrianiens qui sortaient de leurs maisons où ils étaient retranchés par crainte de la prochaine escarmouche, qui accouraient au bord de la route qui menait à la Place Royale, où un prestigieux convoi s'avançait. Ce convoi, c'était en fait le Maréchal Brogenberg, entouré de ses fidèles partisans. Eux marchaient autour de lui, qui s'avançait majestueusement sur son cheval. Les bruits de pas et d’interrogations s’estompèrent et furent éclipsés par les acclamations et les chants de ralliements entonnés par la foule sur le passage d’Augustin. Les passants s'arrêtèrent pour suivre son passage, les riverains s'agglutinaient autour de la route pour assister au passage du glorieux Maréchal, leader du camp des royalistes et dernier grand homme apte à restaurer la grandeur du Royaume.

Rapidement, les passants curieux furent des centaines, et ils furent des milliers lorsque le Maréchal arriva à la Place Royale et descendit de sa monture blanche, le soleil baignant la Place d’une chaleur qui réchauffaient les cœurs des témoins de ce spectacle. Il se mêla aux gens, serrant des mains, recevant des fleurs de jeunes enfants admiratifs devant la grandeur du Maréchal, enlaçant des femmes qui avaient perdus leurs pères, leurs maris, leurs fils aux mains des rouges, pendant que ses partisans montaient une petite estrade et le micro depuis lequel il s’adresserait aux hadrianiens.

Il quitta son bain de foule, s’avançant devant le micro, et les acclamations de la foule se calmèrent pour laisser la parole à celui qui allait les sauver. Lorsqu’il fut prêt, l’ensemble de ses partisans en uniforme, en rang serré derrière lui, marquèrent le pas et saluèrent leur Maréchal avant que celui-ci ne prenne la parole.


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- " Hadrianiens, hadrianniennes, soldats de toute la péninsule,

Depuis maintenant un an, notre Royaume est la proie à la guerre, face à des ennemis de l’intérieur comme à l’extérieur. Nous avons perdu tant de nos maisons. Nous avons perdu tant de nos compatriotes. Nous avons perdu tant de nos enfants, surtout.
Mais la guerre vous offre une trêve. Une trêve pour discuter et tenter de nous mettre d’accord sur ce que nous voulons pour l’Hadrianie. Parce qu’avec tant d’incertitude, avec tant de chaos, comment en être sûr, quand on a plus aucun grand dirigeant à qui se fier ?

Mais ça n’est qu’une trêve. Ca n’est qu’une trêve parce que les révolutionnaires ne respectent ni l’honneur des combattants, ni la dignité dans la défaite. Parce que s’ils perdent ce référendum, ils se rebelleront et poursuivront leurs massacres contre nos compatriotes. Et parce que s’ils gagnent, ils abattront tous ceux qui s’était opposés à eux. Ça n’est certes pas rassurant comme perspective d’avenir. Et on pourrait être tenté de laisser la peur prendre le dessus sur la raison face à ce choix terrible qui incombe à chaque bon hadrianien, combattant ou innocent, et ainsi laisser le loup entrer dans la bergerie sans résister. Mais je suis votre Maréchal. Je suis là pour que vous n’ayez pas à laisser la peur des représailles terroristes dicter vos actions.

Et je vais donc rappeler à chacun d’entre vous pourquoi vous pouvez nous faire confiance. Pourquoi faire confiance en la Régence ? Pourquoi la Couronne, pourquoi la monarchie, et pourquoi pas la République ? Pour cela, il nous faut revenir à ce qu’a été notre Roi pour nous. Et rappeler pourquoi aucune nation de ce monde n’a choisi la République quand elle avait la possibilité de choisir un Roi pour la diriger. Pourquoi nous ne pouvons faire confiance à une République telle qu’édictée par les agitateurs d’Ackermann et ses complices.

Souvenons-nous de feu notre Roi, Herri Ier. Ayons une pensée pour lui. Le Roi Herri a été celui qui a fait de notre pays un grand Royaume unifié. Qui a construit les fondements de notre État et de la nation. Qui a permis aux politiciens de s’amuser à réformer tout en garantissant la stabilité et l’inviolabilité de notre nation. Celui qui se posait en rempart contre toute. Il a fallu que celui-ci tombe pour laisser la porte ouverte au chaos. J’ai été là car comme Maréchal d’Hadrianie, c’est mon devoir de protéger notre nation et notre peuple. Je suis fier d’officier dans les rangs d’hommes qui sont prêts à verser leur sang pour empêcher celui des hadrianiens de couler. Et le premier des soldats d’Hadrianie, celui qui a été notre père et notre commandant pendant les heures de doute et d’incertitude, c’était notre bon Roi. A sa mort, nous étions tous orphelins. Mais nous avons su trouver dans nos rangs un frère d’armes apte à préserver l’intégrité contre ceux qui profitaient de l’opportunité pour répandre le chaos, la mort et la désolation à travers le pays.

La beauté de la monarchie, c’est qu’un Roi peut mourir, et vive le Roi ! La Couronne continuera, et restera à jamais préservée. Un enfant peut être Roi, un impotent peut être Roi, mais la Couronne sait trouver un moyen de préserver la Nation - et la Couronne finit toujours par rappeler au trône le plus illustre de tous les Hadrianiens.
Un Président peut mourir, et avec lui tout s’effondre. Lorsque les communistes ont assassinés le premier ministre modéré, aucun de ses partisans ne s’est levé pour défendre l’équilibre des pouvoirs entre le Parlement et la Couronne. Mieux, certains se sont levés pour soutenir ceux qui l’ont lâchement assassiné.
Lorsque le Roi est mort, nous nous sommes tous levés. Le Roi est notre patrie, son règne est notre liberté. Tant que nous aurons un Roi, tant que celui-ci restera le maître de la nation, il n’y aura jamais plus en Hadrianie de faiblesse si forte qu’elle pourra menacer l’unité de notre peuple.

Un Roi est né pour régner, son sort est lié à son titre et à son pays. La monarchie, c’est le régime de ceux qui naissent et meurent sans aucun autre idéal que celui de la grandeur de leur pays et le bien des leurs. La monarchie, c’est le régime des soldats prêts à mourir pour la défense de leur patrie. De ceux qui seraient prêts à se sacrifier pour protéger leur femme, leurs enfants, leurs terres, et préserver l’avenir de l’Hadrianie. Hadrianiens, nous sommes tous des soldats !

La République voulue par de riches notables formés à l’étranger est un mirage, elle n’est qu’une façade pour que notre pays soit méthodiquement, bout de terre par bout de terre, politicien par politicien, institution par institution, bradé aux rouges de l’Internationale. Votre pays ne les intéresse pas, du moins pas davantage que le pouvoir et l’argent. Et le pouvoir et l’argent, quand ils finissent de vous le prendre à vous, ils vont le chercher auprès de leurs maîtres étrangers. Ainsi avance la corruption de notre État. La République est un pas supplémentaire vers cette corruption. La République est la raison pour laquelle les rouges sanguinaires s’en sont pris au Roi et à la Couronne.

Pourquoi tuer un Roi ? Parce qu’avec un Roi, pas besoin de République. Rappelez-vous qu’il nous a fallu un Roi pour devenir la grande nation que nous sommes. Qu’il nous a fallu un Roi avant d’avoir toute institution. Quelle République nous aurait permis tant de grandeur ?
Et parce que sans Roi, sans Couronne pour préserver l’intégrité de notre nation, il n’y a plus de rempart contre l’importation du socialisme.
Le socialisme, c’est le règne de l’anarchie. C’est l’interdiction de venir en aide à ceux qui subissent la fureur d’une masse manipulée par des prophètes de l’anéantissement. C’est l’apothéose de ceux qui appellent ouvertement à une invasion armée de notre pays, qui en appellent au meurtre de nos soldats, à l’anéantissement de nos villages, à la tyrannie d’une domination étrangère. Nous nous sommes unifiés pour devenir une puissante nation, pas pour devenir une puissance vassale.

Rappelons-nous pourquoi la guerre a pris fin : parce que l’Union de Novgrad menaçait de faire venir des centaines de milliers d’hommes sur nos terres. Ce jour-là, nous avons mis de côté le combat juste que nous menions parce que la soif de pouvoir des révolutionnaires menaçait jusqu’à l’existence même de l’Hadrianie et des Hadrianiens.
Mais le combat se poursuit. Il se poursuit à travers les urnes. Dans une grande guerre, il n’y a pas de petite bataille. Il n’y a jamais de combat vain, il n’y a pas de sacrifice insurmontable. Notre honneur de soldats nous a dicté de faire le nécessaire pour préserver la nation. C’est une bataille que nous avons perdu. Mais la bataille pour le maintien de la monarchie, l’établissement de la Régence et la restauration de la Couronne, nous le gagnerons avec plus d’éclat et de splendeur que jamais les terroristes en rouge n’en seront capables. Nous réaffirmerons que les Hadrianiens sont les maîtres en leur territoire. Et à ce moment là nous commencerons à vaincre. Le combat se poursuivra jusqu’à ce que la grandeur de l’Hadrianie soit rétablie, et que la Couronne soit restaurée dans son droit et dans son prestige !.

Pour le Roi, pour la Régence, pour l’Hadrianie. Nous marcherons droit ! Gloire et honneur !

Vive la Nation ! Vive l’Hadrianie ! Vive le Maréchal ! Vive le Roi ! "

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