mer. 3 juil. 2019 13:50
Nombreux journalistes étaient conviés au manoir alors que la campagne électorale allait se terminer. Une intervention public, du jamais vu depuis la réunification il n'avait donné d'interview ou c'était exprimé comme cela devant tout le peuple Hadrianien. Même pendant toute la campagne Arno Ramenoc ne donna un mot, rien même pas une intervention, il laissait Robin Vonsterinn la tête de liste et tout le reste de l'appareil du parti Radical faire campagne. Mais après la sortit du dernier sondage, il s'inquiéta que les Hadrianiens n'aillent point voter, et que les idées Radicales n'eurent d'échos et applications. Il convia alors toute la presse, on lui donna même la possibilité de faire transmettre son message à la radio ce qui était aussi important pour une large diffusion.
Alors que les derniers journalistes rentrèrent dans sa demeure et s’installèrent, Arno Ramenoc rentra dans la grande salle et s'installa sur un fauteuil en face d'une table où était mis a sa disposition un micro directement lié a la radio.
Bien, si vous voulez bien tous vous installer. Donc je vous ai tous conviés ici avec l'empressement qu'est le miens de participer a cette campagne. Nous sommes dans une situation où tout le peuple sera convié a s'exprimer dans les urnes sur la politique gouvernementale qu'ils voudront. Pour beaucoup c'est bien la première fois qu'ils iront voter, et c'est avec un grand travail de qualité que le gouvernement provisoire de l'assemblée constituante avec succès, a évité nombre de futurs irrégularité et a informé chaque citoyens en âge de voter sur les propositions politique de chaque liste. Mais nous ne pourrons faire cela tout le temps, car déjà selon les informations que j'ai pu recevoir, cette élection a couté cher a L’État, dépêcher un membre officiel du gouvernement dans chaque ville et village pour diffuser les idées politiques des candidats aux analphabètes de notre pays.
Et c'est l'une des causes de l'urgence d'aujourd'hui, on ne sait si les autres listes feront de même que les radicaux pour les futurs élections. C'est pourquoi j'appelle ouvertement a voter pour le Parti Radical mené par Robin Vonsterinn. Nous avons des réformes urgentes a mettre en place sans ça, l'Hadrianie ne pourra se développer a juste titre. Lorsque, j'ai théorisé les idées radicales c'était dans un but, celui de construire un pays et de le développer tout en améliorants constamment le train de vie des travailleurs, sans quoi la violence sera là et la violence surtout envers les travailleurs entrainera la violence général et globalisée.
Ce que nous propose, les autres listes c'est la victoire du libéralisme et du capitalisme non régulée ainsi la montée en puissance de la misère et de la faim. A ceux qui aspirent a un monde meilleur, ne laissez vous voler le vote du peuple. Ne laissez pas les puissants vous soumettre. Ne laissez pas ce modèle de paupérisation triompher. Ils ne feront rien dans vos avantages, car ils laisseront les grands patrons sans règles vous exploiter, nous devons avoir L’État fort partout. Un État interventionniste pour défendre avant tout les droits des travailleurs et du peuple d'Hadrianie. Un État qui protège les plus faibles, qui donne la possibilité a son peuple de pouvoir s'éduquer correctement, se soigner correctement. Un État qui doit construire sa révolution industrielle, et pas laisser les groupes étrangers profiter de la situation. Un État qui subventionne l'agriculture pour entamer révolution de techniques et sauvegarder les intérêts des paysans face au marché.
Travailleurs, jeune, vieux, paysans, ouvriers, peuple du Royaume d'Hadrianie. Allez voter pour vos droits, pour votre condition humaine, pour le pain, la prospérité, pour vos enfants ! Allez voter pour que nôtre pays ne souffre dans sa révolution qu'il entamera, allez voter pour les petits, pour les gens, pour les châtiés ! Pour le Roi ! Vive le Royaume d'Hadrianie !
Dans la salle, journalistes et nombre de curieux par ce discours de ferveur se mirent à applaudir Arno Ramenoc, ceux qui fut entendu à la radio. Après cela, Arno se leva et quitta la pièce. Une apparition, et sans un au revoir aux nombres de gens venue, malgré cela les journalistes n'en furent que surpris de la teneur du discours et commencèrent a écrire pour leurs journaux.
